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Deux contributions aux 100 ans de la FVJC

Timothée Pasche
La Nation n° 2130 30 août 2019

Cet été, du 3 au 21 juillet, s’est déroulée la Fête cantonale de jeunesse qui était aussi le 100e anniversaire de la Fédération vaudoise des jeunesses campagnardes (FVJC). Cette Fête a été monumentale, peut-être même la plus grande jamais réalisée au sein de la FVJC. Pour l’occasion, un livre et un court métrage sur l’histoire de la FVJC ont été publiés.

Un film

Le court métrage se nomme Amitiés, il est disponible sur le site de la FVJC (www.fvjc.ch). C’est une belle production, montée sur la base d’images d’archives, d’interviews de membres actifs et d’anciens. Il donne une brève idée de l’histoire de la FVJC et évoque les activités principales des sociétés de jeunesse. Le film, naturellement, est construit pour donner une bonne image de la FVJC et des jeunesses en général. Rien d’étrange à cela, mais les soirées auxquelles les membres de la Fédération sont accoutumés auraient mérité une mention. Il faut bien avouer qu’une jeunesse campagnarde sans soirées endiablées ne serait pas une jeunesse. Les activités sportives sont donc mises au premier plan. Membre d’une société de jeunesse lui-même, le soussigné peut attester de l’importance, pour un membre de la FVJC, de ces dernières.

Un livre

En ce qui concerne le livre publié à cette occasion, il a pour titre Cent ans et toujours jeune. Il est également disponible sur le site de la FVJC. Il est d’une grande qualité, avec nombre d’images en couleurs. C’est un bel objet qui fait un peu plus d’une centaine de pages et raconte de manière assez détaillée comment les sociétés de jeunesse, de 1919 à 2019, sont devenues ce qu’elles sont aujourd’hui. L’ouvrage met en relation ce qu’elles font maintenant avec ce qui se faisait avant. Il résume bien la structure de la FVJC, ainsi que les activités rythmant l’année.

La même critique que pour le court métrage peut être formulée à l’encontre de ce livre: il n’est fait aucune référence aux soirées. Pour une personne ayant fait partie d’une société de jeunesse, c’est un très beau livre et un objet sur lequel les fédérés seront heureux de mettre la main. Mais le prix reste assez élevé (42 francs, port compris) et le style peut-être un peu trop promotionnel. Quant au membre extérieur à la FVJC, il y trouvera avant tout un intérêt historique ou sociologique.

Quoi qu’il en soit, il faut saluer la publication de ces deux contributions au 100e de la FVJC, et nous invitons les lecteurs de La Nation à se procurer le livre et à voir le film.

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