A propos d’une devise
Le numéro de janvier 2018 d’Allez Savoir, magazine gratuit de l’Université de Lausanne, publie, sous la plume de M. David Spring, un article fort intéressant sur l’évêque Aymon de Montfalcon et le château Saint-Maire, ceci à l’occasion de la fin des travaux de restauration débutés en 2015. Le 14 avril prochain, date symbolique s’il en est, l’édifice sera ouvert au public qui aura ainsi la possibilité d’admirer plafonds peints, peintures murales et autres décorations réalisées sous l’impulsion de l’évêque ami des arts et passionné de littérature médiévale. Quelques lignes de l’article sont consacrées à la devise d’Aymon de Montfalcon, si qua fata sinant, laquelle est en plus bien lisible sur trois des photos illustrant le texte, mais nulle part il n’est fait mention que cette devise est aussi celle du Mouvement de la Renaissance vaudoise. Il était de notre devoir de signaler cet oubli.
Au sommaire de cette même édition de La Nation:
- Essentialiste toi-même! – Editorial, Olivier Delacrétaz
- La colère de M. Berset – Jean-François Cavin
- «Domaine Public» et les caisses de pensions – Jean-François Cavin
- Les nouveaux livres d’Alexandre Voisard et de François Debluë – Bertil Galland
- Ah, que j’aime les militaires! – Jacques Perrin
- Sandre un jour, cendres toujours – Pierre-Gabriel Bieri
- Léon Savary contre les tartuffes – Jean-Philippe Chenaux
- Fédéralisme suisse et principe de subsidiarité – Denis Ramelet
- Cuisine électorale et souveraineté des cantons – Antoine Rochat
- Où est la poésie? – Daniel Laufer
- La dernière nuit de Kleopatra – Le Coin du Ronchon