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Mozart à Lausanne et Honegger à Mézières

Antoine RochatAspects de la vie vaudoise
La Nation n° 1970 28 juin 2013

Les spectateurs de l’Opéra de Lausanne et ceux du Théâtre du Jorat ont eu la chance d’assister à de belles représentations ces dernières semaines.

De retour dans ses murs rénovés de l’avenue du Théâtre, l’Opéra de Lausanne a mis à son répertoire Les noces de Figaro, l’une des œuvres les plus connues de Wolfgang Amadeus Mozart, d’après une pièce de Beaumarchais. Nous avons particulièrement apprécié la mise en scène classique (pas de transposition à une époque antique ou moderne!), ainsi que l’ensemble des chanteurs, tous bons acteurs et très crédibles dans leurs rôles. Dirigé par Theodor Guschlbauer, l’Orchestre de Chambre de Lausanne a assuré un accompagnement efficace.

A Mézières, le Chœur Pro Arte et son chef Pascal Mayer ont d’abord rendu hommage à Robert Mermoud, décédé en 2005. Ensuite, ils ont magnifiquement interprété Le Roi David, oratorio d’Arthur Honegger, sur un texte de René Morax inspiré de l’Ancien Testament. Créée au Théâtre du Jorat en 1921, cette œuvre reste d’une grande modernité, avec une orchestration originale (des vents, des cuivres, des percussions, pas de cordes sauf une contrebasse). Lu par un récitant, chanté par le chœur et des solistes, le texte est fidèle à la Bible. L’œuvre est forte et elle se termine par une évocation de la figure du Christ. La Grange Sublime portait bien son nom lors de ce concert.

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