La Nation sur Facebook

On commence par s'écrier: «Ça, jamais!» Et puis, un jour, on se dit: «Après tout, pourquoi pas?…» Le site internet Facebook est aujourd'hui un phénomène de société, éphémère peut-être, sans doute critiquable (davantage sur l'usage que certains en font que sur l'outil lui-même, qui est intelligemment conçu), mais qui met en contact quotidiennement de très nombreuses personnes. Des lecteurs et même des rédacteurs de La Nation y possèdent leur page personnelle, chacun avec son réseau d'amis et de connaissances. Alors pourquoi ne pas en profiter pour promouvoir ce que nous écrivons?

Un groupe intitulé «Je lis La Nation» y a donc été créé. Une cinquantaine de personnes en sont déjà devenues membres, dont certaines ne partagent sans doute pas toutes nos idées; peu importe: en rejoignant ce groupe, elles attestent qu'elles trouvent de l'intérêt à nous lire régulièrement.

Sur la page principale du groupe (le «mur», dans le jargon de Facebook), lors de chaque parution de La Nation, nous signalons l'un ou l'autre article susceptible d'intéresser de nouvelles personnes. Ces «accroches» – qui renvoient directement à notre site internet où l'article en question est publié in extenso – sont visibles par les membres du groupe et par leurs amis. On procure ainsi une certaine «publicité internautique» (évitons le fâcheux anglicisme buzz!) à quelques bons articles afin de rappeler urbi et orbi que ALa Nation existe et qu'il est indispensable de s'y abonner si l'on veut pouvoir en profiter de manière optimale.

Si par hasard vous êtes sur Facebook, n'hésitez pas à rejoindre le groupe «Je lis La Nation» et à partager avec vos amis les annonces qui y sont publiées.

(P.-G. B., La Nation du 1er janvier 2010)