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La gauche contre

Olivier Delacrétaz
La Nation n° 1968 31 mai 2013

Dans 24 heures du 6 mai dernier, M. Roger Nordmann propose, sous le titre «Un mauvais médicament et six effets secondaires», une critique pertinente de l’initiative pour l’élection du Conseil fédéral par le peuple. Aux arguments que La Nation avait elle-même développés et que nous ne reprendrons pas ici, il ajoute une remarque qui souligne les limites de la transparence censément apportée par l’initiative et montre qu’il n’est pas facile de déterminer si tel ou tel candidat plurilingue ou proche de la frontière des langues est, oui ou non, un vrai Latin. La candidature d’Urs Schwaller a donné un avant-goût de la perversité de ce genre d’exercice.

L’Union démocratique du centre défend des causes justes et difficiles sans jamais reculer devant les critiques des bien-pensants, notamment en matière d’armée, d’indépendance et de neutralité. Nous lui avons plus d’une fois manifesté notre soutien et notre reconnaissance.

La vérité nous oblige néanmoins à dire que l’UDC reste un parti, mu par toutes sortes d’intérêts, de passions idéologiques et d’appétits particuliers qu’il lui faut satisfaire en priorité, parfois en marge du bien commun, parfois même contre lui. Cette initiative en est un exemple.

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