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Le bon vieux temps

Philippe RameletRevue de presse
La Nation n° 1956 14 décembre 2012

Dans un article publié par Le Matin- Dimanche du 9 décembre, Elisabeth Eckert, sans nul doute inspirée par les convulsions du site sidérurgique de Florange, relève:

[…] Oui, la vie, c’est moche, parce qu’elle bouge, toujours. «Au nord, c’étaient les corons», chantait Pierre Bachelet. Et les «P’tites femmes de Pigalle» et «Félicie aussi», oubliant que les hommes, alors, crevaient. Dans cette chronique, nous avons régulièrement dénoncé les dérives de la finance. L’indécence, aujourd’hui, est de nous prendre en otage entre un monde effectivement dégoûtant du «tout fric», et celui d’un passé ouvrier de «gueules noires», fallacieusement idéalisé par une gauche réactionnaire. L’industrie suisse ne ressemble plus du tout au monde de Zola. La biotechnologie, l’horlogerie, l’informatique et la machine-outil relèvent toutes du secteur secondaire. Mais c’est celui qui fait, de la Suisse, sa plus grande richesse. L’industrie, nom noble, a changé et, le premier, Emile Zola s’en féliciterait.

Comme le titre la journaliste, C’est marrant comme la gauche archaïque aime les hauts fourneaux.

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